Hello à tous,
Si ce blog n'est plus trop actif moi en revanche, je le suis !
Vous pouvez me suivre sur Instagram.
@krolyne.in.paris
Bibiz à tous les hashtags
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J'ai comparé, fait des tentatives ici et là.
ça me décourage, c'est compliqué. donc après réflexion, je vais rester ici.
Ce ne sera plus jamais ce que c'était avant mais tant pis.
Du coup, c'est un peu le calme plat question création en ce moment. J'aurai sans doute des choses à vous montrer dans quelques semaines. Et puis d'autres projets se réalisent qui occupent bien l'esprit et le temps. Je vais bientôt changer d'atelier, hé oui. En attendant, je ne peux plus voir le mien en peinture. Donc je le boude. Voilà les raisons de ma pause.
Allez, le printemps sera plus riche en peinture, j'en suis sûre.
Bibiz à tous les p'tits crocus qui s'radinent déjà dans le parc.
Hello à tous,
J'ai fait l'erreur de valider la mise à jour proposée par overblog.
Résultat : tous mes albums ont disparu je ne sais où !
Vous ne pourrez plus consulter mes albums avec mes toiles.
Je suis écoeurée.
Je tente de trouver une solution et je vous tiens au courant.
Je suis dépitée.
L'intégration de photos c'est monstrueux. Un échec.
Bibiz à ma patience.
Open mind.
En général, c'est ce que je suis. Plutôt réceptive. J'aime beaucoup l'art abstrait et l'art moderne. Je ne cherche pas à tout comprendre, je me laisse facilement atteindre par des émotions artistiques. Mais, j'ai un point faible : les lieux d'exposition d'art contemporain me donnent la nausée. Et sans mentir, j'aime pourtant bien l'art contemporain.
D'abord il y a l'odeur. Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais il y a toujours une odeur piquante, qui prend le nez et la gorge dans un lieu d'exposition d'art contemporain. C'est un mélange de poussière, de matière organique et de vieux trucs moisis détournés. L'art contemporain aime bien les vieux trucs moisis détournés.
Ensuite, il y a le fond sonore. Le lieu d'exposition d'art contemporain baigne de sons étranges, torturés et répétifs, qui sont lointains et proches à la fois. Ils sont étouffés par les murs d'une salle de projection, mais pas suffisament pour être inaudibles, sorte de bouhaha chamanique sortant de nulle part qui perturbe l'espace.
Enfin, il y a le visuel. L'art contemporain aime les vidéos qui tournent en boucle faites de plans flous, ponctuées de balancements incohérents, de clignotements sans justification, d'une foule qui marche et s'assoit au ralenti, agrémentées de sons qui n'ont rien à voir avec l'image. C'est vertigineux. Et là pour le coup, ça me dépasse totalement.
Bref, il règne une ambiance bizarre dans les lieux d'exposition d'art contemporain. Sculptures de nos temps, les vidéos ou les trucs qui bougent comme des robots, des tubes néon qui clignotent et des oeuvres d'étagères avec vrai livre et chapeau mou. L'art conceptuel, vous savez, le ready-made. Bon bref, à quelques jours d'intervalle, j'ai vu l'exposition JCE à Montrouge et le Musée National d'Art Moderme du Centre Pompidou.
Malgré ces défauts qui me donnent la nausée, j'aime bien les musées et les expo d'art contemporain. Parce que j'en ressort toujours avec la même conviction : il n'y a que la peinture qui me fasse vibrer. Ah oui. Il n'y a que la peinture qui vaille vraiment le coup. C'est mon point de vue perso.
La peinture est une chose certaine.
L'art contemporain est une chose fongible.
A méditer.
Voici ce qu'étaient mes pensées au sortir de ces lieux d'art contenporain où j'ai vu de belles choses, et d'autres... totalement inaccessibles...
Bibiz à tout ce que je ne comprends pas.
Hello tout le monde,
J'ai un peu déserté ces derniers temps, la faute à un disque dur qui a rendu l'âme. Snif...
En attendant, je me prépare pour les grandes expo de la rentrée. Je vous en parle bientôt.
Et puis, j'ai quelques dessins et croquis à ajouter à mes albums. Dès que je retrouve un équipement informatique digne de ce nom, je reviens en force.
Bibiz à GroBill.com.
Tout le monde est prêt pour demain ? Les crayons bien taillés ? Les devoirs terminés ? Allez zou, on retrouve les copains, on échange ses doubles de Pokémon et en classe !
Coloriage et dessin pour tout le monde.
Moi aussi j'ai mes devoirs à finir pour la semaine.
Pour moi ce sera une toile pour la tombola. Aller, cette fois-ci il faut que je m'y mette.
J'ai l'idée. C'est 80% du travail accompli.
Bibiz à mes crayons de couleur.
J'ai plein de choses à vous raconter. Le début de cette année porte-bonheur commence très fort. Un grand film, une belle expo, des cadeaux, des projets. Vite ! Qu'on me donne le temps d'écrire un billet et je vous en parle. A très vite.
Bibiz à tous les gens pressés.
Un petit passage par le bout de l'Ile... On souffle une peu avant d'entamer la nouvelle année.
Que cette année porte-bonheur vous inspire.
Bibiz aux douze prochains mois.
Je développerai tout ça bientôt, c'est juste une mise en bouche :
- une exposition à la Pinacothèque, et même la collection permanente, à voir, du Modigliani, du Utrillo et sa maman, du Soutine et d'autres artistes à découvrir autour du collectionneur Jonas Netter (du bon, du bon),
- Renoir, un film à voir en 2013, sur la fin de la vie de l'artiste et son dernier sursaut créatif,
- du street art en pagaille à vous montrer,
- des livres à partager,
- mon tableau qui a bien avancé (merci le 15 août).
Bref, c'est pas les vacances pour tout le monde !
Eh oui !
Bibiz à la canicule.
C'était le challenge de l'été 2012 ! Complètement déconnecter de la vie virtuelle pour plonger la tête la première dans les vacances. Pari tenu, et c'était bien.
J'ai des photos pour vous, du Beach Art, des expos d'amateurs, des projets de toiles, tout ça arrive très bientôt sur mon blog.
Je reprends contact avec la vie d'après la plage et le soleil et je vous poste tout ça très vite.
Bibiz à toutes les huiles solaires.
...ça repart !
J'arrive tout juste ! Laissez-moi digérer la reprise, le débat, les sondages, les gens qui retournent leur veste, les échéances d'exposition parisiennes qui m'affolent et je reviens vers vous avec moultes natures mortes, portraits d'enfants chéris et compte rendu d'expo.
Promis, promis.
Bon et puis n'oubliez pas de crier ! ça rapporte 119 millions de dollard chez Sotheby's à NYC !
Bibiz à tous les records du Guiness book.
C'est une question qu'il m'arrive parfois trop souvent de me poser.
La vie ne me serait-elle pas plus simple si je n'étais pas dévorée par cette fièvre créatrice incessante ? Est-ce que mon inspiration ne pourrait pas me foutre la paix de temps en temps ? Est-ce que je ne pourrais pas une fois dans ma vie rester de marbre face aux lumières et beautés de la nature, au lieu de m'émouvoir aux larmes dès qu'un nuage coloré passe au-dessus de moi et qu'un ciel un peu trop clair me donne envie de prendre mes pinceaux ?
C'est vrai quoi ! Je peux pas ouvrir mes volets, marcher dans la rue, lire un livre, aller au ciné, faire mon marché (le pire ça, c'est les fruits et les fleurs, j'en achèterais des tonnes rien que pour faire des natures mortes, si je m'écoutais) sans être en permanence assaillie par mon inspiration et mon envie de peindre. Une image, un enfant croisé dans la rue, une couleur un peu vive, et paf ! Une idée de tableau (que je n'ai jamais le temps de réaliser, cela va sans dire).
Sans compter la place que ça occupe un atelier, sans même parler des toiles qui s'entassent, je ne sais plus quoi en faire ! Mes proches saturent sous mes tableaux, j'en donne, j'en offre, mais il en reste toujours.
Comment faire lorsqu'une passion prend tant de place dans la tête et dans la vie ?
Comment gérer cet art qui me donne tant de plaisir et me fait tellement souffrir en même temps ?
Comment gérer cette frustration qu'il génère lorsque je ne peux pas créer comme bon me le semblerait ?
Voilà alors cette pensée qui revient : comme la vie serait plus simple si je n'étais pas artiste... Et je soupire. Et je me reprends en me disant aussitôt : mais comme la vie serait morne si je n'étais pas artiste.
Car oui parfois, lorsque la vie autour de moi va trop vite et me laisse peu de temps pour mon art, lorsque cette maudite inspiration passe en mode veille, me voilà qui m'affole ! Mais où est passé ma verve créatrice ? Où est passée cette énergie qui me dévore et qui parvient à me tenir éveillée tard le soir dans mon atelier ? Je me sens molle et sans vie. Voire inutile à moi-même.
Quel dilemme n'est-ce pas ? Lorsque ma sensibilité est là, elle est trop forte, et lorsqu'elle s'assagit, c'est moi qui panique. Je l'aime et la crains en même temps, sans pouvoir lui échapper.
Il me serait en fait impossible de renoncer à cet art et de ne pas écouter ce qui vibre en moi. Et lorsque je m'installe à mon atelier, lorsque la toile avance, alors quel bonheur je ressens, c'est magique ! J'ai un sentiment d'achèvement, de cohérence et d'aboutissement qui me comble. Tout devient évident et logique autour de moi. Chaque toile me fait progresser, m'apporte quelque chose qui m'enrichit. C'est un pas de plus vers mon identité.
Qui renoncerait à son identité ?
C'est impossible.
C'est peut-être un sentiment commun à tous les artistes. Parfois on se sent comme transporté, sensible et ouvert au monde, mais d'autres fois, on se sent écrasé par une oeuvre qui n'en finit jamais, qui ne correspond pas toujours à ce qu'on désire ou qui ressemble à une goutte d'eau dans l'océan.
Être artiste, est-ce un don ? Oui, je le pense, mais il y a un prix à payer.
Et ce prix est une hypersensibilité permanente qui parfois torture, comme elle peut être source d'inspiration, et qui ressemble alors à une malédiction...
Faut apprendre à vivre avec. Et c'est comme pour tout, il y a des jours avec, et des jours sans.
Si demain j'arrive à m'installer pour peindre, croyez-moi cette question ne m'effleurera même pas.
Bibiz à ce demain si prometteur.
En ce moment, j'ai du mal à m'installer dans mon atelier, rapport au froid. Emmitouflée dans deux polaires, je n'ai pas le courage de peindre. Je compte m'équiper de mitaines en espérant que ça me permette de tenir mon pinceau. Je suis frileuse et j'ai plutôt un esprit de marmotte ces derniers temps.
J'attends le redoux pour m'y remettre.
Bibiz aux poissons congelés du parc Cardinet.
Cher lecteur, voici plus de quinze ans que je peins. Cette passion trouve par ce blog un moyen d'exposition adapté à mon rythme de création et à ma vie très active. J'ai fréquenté de nombreux ateliers, fait de superbes rencontres et appris auprès d'artistes reconnus. Les tableaux, croquis et dessins présentés dans mes albums couvrent ces quinze dernières années. Je vous présenterai celles à venir par mes articles. Bonne visite dans mon atelier.