Deuxième épisode. C'est le printemps (enfin), il fait beau (enfin), pas trop chaud (tant mieux) et le jardin est fleuri (youpi). Les bourdons et les papillons occupent les arbres à qui mieux mieux. Et moi, je me suis posée sur la pelouse pour admirer toutes ces fleurs et ces insectes.
Ici, les fleurs d'un cerisier sauvage. C'est tellement délicat et fragile comme fleur. Sous le vent, les pétales tombaient presque un à un.
Une branche de lilas aux fleurs à peine écloses. J'ai expérimenté la projection de peinture en fond. Mais je ne suis pas convaincue.
En ce joli mois de mai, je vous offre un brin de muguet porte-bonheur. Les clochettes étaient très en retard cette année. Le muguet s'était à peine ouvert. J'ai réveillé un petit colimaçon en arrangeant les feuilles pour ma composition. Le coquin a eu le temps de se faire la belle avant que je n'ai pu le terminer. Comme quoi, c'est pas si lent que ça un escargot ! Ou alors, c'est moi qui peins vraiment très lentement...
Ici, le vieux puits du jardin. Celui-là au moins, il ne risque pas de partir en courant pendant que je le peins.
En pour finir, deux croquis à l'encre de chine.
C'est chouette le printemps. Je retrouve le plaisir de peindre dans le jardin et en bord de mer.
Bibiz à tous les magasins Truffaut.